
L’Amérique d’abord, la liberté en dernier
La droite populiste et la gauche radicale mettent la démocratie en péril
Regarder la convention républicaine cette semaine ressemble à un exercice d’amnésie collective. C’est comme si le libre-échange était une fantaisie. Comme si la guerre froide n’avait jamais eu lieu.
Oubliez le président Ronald Reagan appelant M. Gorbatchev à « abattre ce mur ». Maintenant, il s’agit de les construire, pour empêcher les personnes et les marchandises indésirables d’entrer dans le pays. Relevez le pont-levis : l’Amérique fera cavalier seul.