Le Canada n’est pas à l’abri des violences politiques

Les sociétés libres sont censées offrir un cadre contrôlé pour l’expression des passions politiques. Les campagnes, les débats et les élections canalisent les conflits sous des formes non violentes, permettant aux citoyens de régler leurs différends par des bulletins de vote plutôt que par des balles.

Mais tout le monde n’accepte pas ces règles du jeu. Le plus grand échec des démocraties est de supposer que tout le monde priorise le discours et renonce à la violence. Il y a beaucoup d’individus, de groupes et de sociétés qui considèrent l’usage de la force comme un moyen légitime d’atteindre des objectifs politiques. Et lorsque les conditions sont réunies, ils peuvent renverser une démocratie.

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Carney should be careful. We all know what happens to Trudeau's friends

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